Contactez-nous!

Par téléphone au 06.14.06.44.36 ou par mail en Cliquant Ici!

jeudi 18 décembre 2025

Notre pays crève à petit feu et cette caste de bien-pensants parisiens, ne voit rien venir !

Notre pays crève à petit feu, asphyxié par des priorités complètement inversées, pendant qu'une caste de bien-pensants parisiens, déconnectés du réel, continue de réclamer toujours plus d'argent public pour un audiovisuel d'État obèse, capturé par un petit club très fermé de braqueurs en costume cravate et de copains de restaurants gastronomiques pour compères friqués. 

Près de 4 milliards d'euros par an – oui, des milliards prélevés directement sur les impôts de tous les Français via la TVA – pour financer France Télévisions, Radio France et consorts. 

Des milliards qui pourraient sauver des hôpitaux, des écoles ou des exploitations agricoles, mais qui servent à engraisser un système opaque où une poignée de sociétés de production privées rafle la mise. Ces boîtes, souvent liées à des animateurs-stars ou à des groupes puissants, facturent des concepts dont elles sont elles-mêmes à l'origine à des tarifs astronomiques. Émissions de plateau, jeux, talk-shows : tout est externalisé, avec des marges arrières époustouflantes, de 40 à 50 % voire plus dans les scandales passés dénoncés par la Cour des comptes….des profits indécents sur de l'argent public, pendant que les chaînes éponymes se vident de leurs moyens internes.

Tout ça se passe en pleine commission d'enquête parlementaire sur « la neutralité, le fonctionnement et le financement de l'audiovisuel public. Du jamais vu dans une démocratie moderne ! Les auditionnés mentent à qui mieux mieux, défendent bec et ongles un système gangréné par les copinages où l'entre-soi l'emporte largement sur la vérité. 

Prenez Delphine Ernotte venant tout droit d’Orange, parachutée en 2015 à la tête de France Télévisions sans la moindre compétence et expérience (comme l’impose pourtant la loi), lors de son audition récente, le 10 décembre 2025, elle a osé prétendre - SOUS SERMENT - qu'en dix ans, elle aurait « permis d'économiser 500 millions d'euros » à l'État, en tenant compte de l'inflation! 

Alors que la Cour des comptes alarme sur une « situation financière critique », avec des déficits cumulés et des coupes budgétaires à venir - « Le groupe est en plan social permanent avec des milliers d'emplois supprimés » a-t-elle eu la morgue de balancer aux citoyens de ce Pays alors qu’elle se vante depuis dix, communiqué de propagande après communiquer de propagande, d’un bilan positif pendant que tout coule. Tu parles !!

Où sont passées les missions historiques de la télévision publique « informer, éduquer et divertir » ? Ces piliers fondateurs, inscrits dans les textes depuis des décennies, que même Emmanuel Macron – appelons-le par son nom – qualifiait en 2017 de « honte de la République » pour l'audiovisuel public, dénonçant sa mauvaise gestion, son gaspillage et sa gouvernance opaque. Aujourd'hui, on est loin du compte : l'information est accusée de partialité, l'éducation reléguée au second plan et le divertissement formaté sert souvent de cache-misère à une pensée unique imposée.

Pendant ce temps, nos campagnes se désertifient à une vitesse folle. Chaque année, entre 10 000 et 13 000 exploitations agricoles mettent la clé sous la porte – un rythme infernal qui s'accélère, avec des dizaines de milliers de fermes en moins sur une décennie. Des familles ruinées, des terres abandonnées ou rachetées par des fonds spéculatifs, des villages qui meurent, et une souveraineté alimentaire qui s'effrite. Nos paysans, écrasés par les normes bruxelloises absurdes, les charges insurmontables, les prix imposés par la grande distribution et l'importation massive de produits low-cost, n'ont plus les moyens de résister.

Où va l'argent des Français ? À arroser généreusement les plateaux télé pour diffuser la bonne parole officielle et les divertissements surfacturés, ou à sauver ceux qui nous nourrissent vraiment ? Ce qui nous soignent,  qui nous apprennent, qui nous protègent et  tant d’autres. On finit d’assécher les poches déjà vides des contribuables pour financer un audiovisuel public gangréné par les parachutages, le copinage, les renvois d’ascenseur, les mensonges en commission et les surfacturations, pendant que le cœur battant de la France rurale s'éteint dans l'indifférence générale.

C'est une inversion totale des valeurs : on protège une élite médiatique qui vit grassement sur la bête, et on laisse crever les producteurs de nourriture, les vrais, ceux qui se lèvent à l'aube pour faire vivre le pays.

Il est grand temps de renverser la table. De redonner la priorité à ceux qui produisent l'essentiel, pas à ceux qui produisent du vent. De stopper cette hémorragie et de remettre la France à l'endroit.

À trop vouloir faire croire que ces gens n'ont rien à se reprocher, alors que le déficit abyssal de la France atteint presque 3500 milliards d'euros de dette publique, la guerre civile que certains prédisent mais redoutent en même temps, commencera peut-être avec avec cette guerre civilo-médiatique qui est en train de prendre forme. 

La dernière campagne que vient de lancer Radio France en pleine commission d’enquête (*) et que relaie la Presse, Le Figaro notamment, est indécente. Outre que ces huit visuels sur l’air de « on est les plus forts, les Français nous adorent et nous font confiance et la pensée unique doit rester nôtre… », auront coûté un pognon de dingue; Elle est bien la preuve que tout ce petit monde hors sol n’a rien compris à ce qui nous pend au nez et va nous exploser à la figure. 

Un grand merci au roi du « en même temps » !

Les centaines de millions à nouveau gaspillés, histoire de faire la nique à la commission d'enquête dont la présidence va faire sans délai l'objet d'un article 40 particulièrement documenté, près la procureure de la République de Paris.















Après qu'Ernotte a qualifié CNews de "chaîne d’extrême droite" et dit que "ses journalistes ne faisait pas le même métier" Christophe Tardieu va à la gamelle.

Après qu'Ernotte a qualifié CNews de "chaîne d’extrême droite" et dit que "ses journalistes ne faisait pas le même métier" Christophe Tardieu va à la gamelle.

Eh oui ! Le 10 décembre l'ex-Orange l'amenait avec elle devant la commission d'enquête parlementaire pensant probablement enfumer son rapporteur comme sur l'emploi de Arnaud Ngatcha

Trois jour plus tard, le porte-voix ernottien, était bel et bien sur CNews pour faire la pub de son bouquin qu'il a trouvé le temps d'écrire dans l'émission "Face à Bock-Côté" (*)

Le « média d’opinion, loin d'être une chaîne d’information neutre », toujours selon Ernotte qui le déclarait pourtant infréquentable du fait de son positionnement politique , ne l'était donc pas, le temps que le Secrétaire général de France Télés puisse y faire la promo de son dernier livre.

Le Canard enchaîné de ce mercredi révèle que Christophe Tardieu est invité par Mathieu Bock-Côté le 13 décembre 2025 pour présenter son livre.

Il est même assis à côté d' Arthur de Watrigant. directeur de la rédaction du magazine L'Incorrect, vous savez l'affaire de l'enregistrement de Thomas Legrand et Patrick Cohen

Dire que depuis son e de septembre accordé à sa pote Aude Dassonville dans Le Monde, elle affirmait  : « Il faut admettre que CNews est un média d’opinion. Qu’ils assument d’être une chaîne d’extrême droite ! », ajoutant que « la galaxie médiatique de Vincent Bolloré » mène une offensive contre l’audiovisuel public.

Comme dit le proverbe  « Ventre affamé n'a point d'oreilles » (¤)

(¤)

 

https://youtu.be/_tFGy7Gcdh4?si=ANQCiFsHvmJtylDm




mercredi 17 décembre 2025

Laurence Bloch l’ancienne patronne de France Inter est en dessous de tout ...

Laurence Bloch l’ancienne patronne de France Inter est en dessous de tout ...

Dans un café où elle avait donné rendez-vous à Thomas Legrand avant qu’il ne soit auditionné, ce jeudi par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale, l’ex-dirigeante de Radio France lui a tout simplement suggéré de démissionner pour "protéger" la station !!!

Hallucinant. Selon Europe 1, alors que la  commission d'enquête parlementaire sur « la neutralité, le fonctionnement et le financement de l'audiovisuel public » auditionnera dans deux jours Thomas Legrand et Patrick Cohen, après la diffusion d'extraits d'une conversation, filmée à leur insu, avec deux responsables du Parti socialiste, dans laquelle ils affirment vouloir "s’occuper de Rachida Dati", Laurence Bloch confirme le rendez-vous.

Elle affirme pourtant auprès de la radio, n’avoir été, ni mandatée par France Inter, ni par Radio France mais avoir agi seule de sa propre initiative. "L’objectif serait de lui permettre de ne plus être interrogé en tant que collaborateur de Radio France, en justifiant l’absence de tout lien contractuel avec le groupe public au moment de son audition", indiquent les journalistes de la station. Ben voyons !

Pourtant, à  48 heures de l'audition sous serment, la radio publique négocierait avec l'avocat de Thomas Legrand "afin de parvenir rapidement à un accord", précise Europe 1. 

Dire qu'il y a encore quelques semaines, l'intéressée claironnait chez Léa Salamé sur France 2  dans "Quelle époque! ": "Je crois que le service public est attaqué par un groupe politique, médiatique, idéologique, qui fait beaucoup de vacarme mais qui a assez peu de scrupules alors qu'en face, on a un audiovisuel public qui, lui, est plus scrupuleux..."

A l'évidence, les scrupules n'ont visiblement pas étouffé la scrupuleuse Bloch !!



mardi 16 décembre 2025

Commission d’enquête sur l’Audiovisuel public : La CGC de l'Audiovisuel va saisir la procureure de la République de faits susceptibles de constituer un délit de conflit d'intérêts.

Commission d’enquête sur l’Audiovisuel public : La CGC de l'Audiovisuel va saisir la procureure de la République de faits susceptibles de constituer un délit de conflit d'intérêts.

Le blog CGC Média vous propose de découvrir les termes quasi définitifs de la saisine à la procureure de la République madame Laure Beccuau que le responsable légal de la CGC de l'Audiovisuel va lui adresser dans les jours qui viennent :

" Madame la Procureure de Paris

En vertu de l'article 40 du Code de procédure pénale, la saisine concerne des faits graves susceptibles de constituer un délit de conflit d'intérêts, impliquant le député de la 3ème circonscription du Calvados Jérémie Patrier-Leitus proche de monsieur Édouard Philipe puisque membre du parti Horizon.

Les faits sont les suivants :  

Les interventions de ce député qui, en tant que président de la Commission d’enquête portant sur « la neutralité, le fonctionnement et le financement de l’audiovisuel public », admoneste régulièrement le député rapporteur tout comme certains membres de ladite instance validée par l’Assemblée nationale, ont en effet éveillé  des soupçons de conflit d'intérêts, impliquant le député Jérémie Patrier-Leitus et des dirigeants de France Télés justement auditionnés voire même un des 3 plus gros producteurs extérieurs du groupe public.

Tout d’abord, alors que ce député demande à chaque intervenant de préciser les mandats et autres charges susceptibles de représenter un éventuel conflit d’intérêts, lui ne mentionnera jamais  qu’il est Vice-président de la commission des Affaires culturelles mais surtout en raison de ce qui nous intéresse : « Co-Président du groupe Patrimoine et Tourisme de l’Assemblée nationale ».

Pas plus oralement,  lors de la commission que dans sa déclaration à la HATVP il ne le mentionne. Etrange car Jérémie Patrier-Leitus est le député du Calvados (les terres de Pierre-Antoine Capton propriétaire de Médiawan et ses quelques 25 filiales mais aussi de l'hôtel Le Flaubert à Trouville) que l'intéressé ne peut pas ne pas connaitre  justement dans le cadre de cette "coprésidence". 

Pourquoi  Jérémie Patrier-Leitus ne l’a-t-il pas indiqué devant ses collègues ? Pourquoi n’a-t-il pas précisé non plus, les noms des responsables de Audiovisuel public et plus particulièrement de France Télévisons qu’il a eu à connaitre et à fréquenter via son professorat à Sciences Po Paris où il enseigne le « management des organisations culturelles et du mécénat » ( un cours de Master axé sur la gestion des institutions culturelles, le financement public-privé et les stratégies de communication dans le secteur audiovisuel et médiatique) ?

Avec ce programme qui attire régulièrement des professionnels et responsables du monde culturel et médiatique dont certains issus de France Télévisions donc, pour des interventions qui portent sur des thèmes comme "la neutralité éditoriale, le financement des médias publics et la transition numérique"...des sujets totalement alignés avec les auditions actuelles de la commission d'enquête qu'il préside garant de l’impartialité de la transparence !



Chacun aurait ainsi été en droit de se poser la question sur d’éventuels conflits d’intérêts puisque parmi les participants aux séminaires et autres échanges plus  informels, Jérémie Patrier-Leitus avec son parcours d’administrateur qu’il déclare pourtant à la HATVP (conseils d'administration de Radio France, LCP et France Médias Monde), a effectivement  "fréquenté" et collaboré avec des figures du secteur public audiovisuel.

En voici une liste non exhaustive (*) :

- Delphine Ernotte-Cunci

Elle a participé à une masterclass exceptionnelle en 2023 sur "La gouvernance des médias publics à l'ère numérique", invitée par Patrier-Leitus pour discuter des défis budgétaires et de la pluralité. Cette session, ouverte à un petit groupe d'étudiants, a été citée dans un rapport de Sciences Po sur le mécénat culturel. Ernotte-Cunci y a partagé des insights sur la fusion France 4/5 et les partenariats privés, en lien direct avec les thématiques du cours.

- Stéphane Sitbon-Gomez  (son ex-dircab promu perpétuel ! )

Il a co-animé une session en 2022 sur "Les stratégies de diversification des revenus pour les chaînes publiques", en collaboration avec Patrier-Leitus. L'intervention portait sur les coproductions internationales et la monétisation des archives, avec des cas pratiques tirés de France 2 et France 3. Mentionné dans un article du Monde sur les formations en management culturel à Sciences Po.

- Sophie Keitan (Directrice de l'École du Journalisme et de l'Audiovisuel, et responsable des contenus numériques chez France Télévisions)  

Intervenante récurrente depuis 2019 dans le module sur le "financement et l'innovation médiatique" de Patrier-Leitus. Elle a animé des ateliers sur la production de contenus éducatifs pour France Info et l'impact du streaming sur le service public. Ces échanges ont été documentés dans le bulletin annuel des Masters de Sciences Po (2024), où Keitan est créditée comme "partenaire pédagogique".

Etc…

Dans de telles conditions, les faits qui précèdent apparaissent complètent incompatibles avec cette présidence de commission d’enquête.  

Enfin, à un courrier qui lui était récemment adressé sur ces sujets et sur le parti pris affiché, le député se contentait de répondre partiellement, en ces termes :

« Comme président de la commission d’enquête, je suis le garant de l’impartialité et de l’objectivité de ses travaux. Comme les propos des personnes auditionnées sont régulièrement tronqués et instrumentalisés sur les réseaux sociaux, il est de ma responsabilité de prendre la parole pour rétablir les faits, mettre en perspective, donner du contexte, des clés de compréhension. »

Il convient ainsi que « de fausses allégations seraient faites » – SOUS SERMENT – et qu’il serait « de son devoir de rétablir la vérité »

Ces agissements pourraient être qualifiés de prise illégale d'intérêts au sens de l'article 432-12 du Code pénal, ou d'autres infractions connexes, susceptibles de porter atteinte à la probité et à l'intégrité de la fonction publique.  

Je vous prie de bien vouloir ouvrir une enquête préliminaire afin d’établir la réalité des faits et, le cas échéant, engager les poursuites nécessaires. Je reste à votre disposition pour fournir tout élément complémentaire ou être entendu.  

Soyez certaine, madame la Procureure, de l’assurance de ma haute et respectueuse considération".

(*)


















Ce programme correspond donc bien à un cours de Master dispensé à Sciences Po Paris comme d'ailleurs, celui en 2022 intitulé "Management des organisations culturelles et du mécénat" et axé sur la gestion des institutions culturelles, les financements public/privé, les stratégies de communication dans l'audiovisuel et les médias, ainsi que sur des thèmes comme la neutralité éditoriale, le financement des médias publics et la transition numérique, attire des professionnels et responsables du secteur culturel et médiatique (y compris de France Télévisions).













Nouvelle condamnation pour la CGT qui fait mine de taper sur "les patrons voyous" mais se comporte dans les faits comme ceux de la pire espèce !

Nouvelle condamnation pour la CGT qui fait mine de taper sur "les patrons voyous" mais se comporte dans les faits comme ceux de la pire espèce !

Après, la récente mise en examen de l’ex-trésorier CGT du CI-ORTF par le Tribunal judiciaire de Paris pour « Abus de confiance », (¤)

(¤)

« Pour avoir, à Paris entre le 1er janvier 2009 et le 31 décembre 2014, en tout cas sur le territoire national et depuis temps non couvert par la prescription de l'action publique, alors qu'il était membre élu du comité inter-entreprises en tant que trésorier du CI-ORTF, disposé à des fins personnelles de la subvention de fonctionnement pour des dépenses de voyages, d'hébergement et de restauration sans rapport avec son mandat pour une somme qui lui a été indûment versée de 50 223,62 euros, alors qu'il était détaché à temps plein et que sa résidence se trouvait en région parisienne et non en région PACA. 

Faits prévus et réprimés par les articles 314-1 et 314-10 du Code Pénal (Natinf 58). 

Après, la très lourde condamnation pour discrimination et harcèlement moral reconnus qu’a subi une salariée du CI-ORTF, en l’occurrence une femme enceinte qui aurait pu perdre son enfant, du fait des agissements de la Secrétaire du CI-ORTF Claudine GILBERT. 

L'Informmé titre "Harcèlement, licenciements… tensions maximales au CE de France Télé, Radio France et l’INA"

Les condamnations que va percevoir la victime, se chiffrent à plus de 71.000€… et devinez qui va payer pour toute cette horreur : LES SALARIÉS

L'affaire selon nos informations va se poursuivre au Pénal...

Voici la toute nouvelle condamnation rendue par la Cour d'appel (*voir l'intégralité du jugement ci-après) qui vient alourdir les dizaines et dizaines de milliers d'euros dont les salariés des entreprises France Télés, Radio France et l'INA ne disposerons pas dna le cadre des activités sociales et culturelles...le montant des procédures en cours et à venir pouvant même dépasser les 200.000€ !

"La Cour, après en avoir délibéré, statuant publiquement, par arrêt mis à disposition au greffe à une date dont les parties ont été avisées dans les conditions prévues à l'article 450 alinéa 2 du code de procédure civile, 

CONFIRME le jugement déféré, sauf en ses dispositions relatives au montant des dommages-intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, 

Statuant à nouveau sur le chef infirmé et y ajoutant, 

- CONDAMNE le CI-ORTF (Comité Interentreprises des Organismes de Radio et de Télévision Français) à payer à M. [V] [O] les sommes de : 30 000 € à titre de dommages-intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, 

- 2 500 € sur le fondement de l'article 700 du code de procédure civile, 

ORDONNE la remise par le Comité Interentreprises des Organismes de Radio et de Télévision Français à M. [O] d'une attestation France Travail et d'un bulletin de salaire récapitulatif conformes à la teneur du présent arrêt, au plus tard dans les deux mois suivant sa signification, 

ORDONNE le remboursement par le Comité Interentreprises des Organismes de Radio et de Télévision Français aux organismes sociaux concernés des indemnités de chômage payées à M. [O] dans la limite de deux mois d'indemnités, 

ORDONNE l'envoi par le greffe d'une copie certifiée conforme du présent arrêt, par lettre simple, à la Direction Générale de France Travail, REJETTE les autres demandes des parties, 

CONDAMNE le Comité Interentreprises des Organismes de Radio et de Télévision Français aux dépens d'appel."

(*)































 

lundi 15 décembre 2025

Ils ont menti à la commission d'enquête sous serment...Charles Alloncle doit déclencher les premiers signalements pour parjures auprès du Procureur de la République.

Ils ont menti à la commission d'enquête sous serment...Charles Alloncle doit déclencher les premiers signalements pour parjures auprès du Procureur de la République. 

Ernotte et Tardieu le secrétaire général de France Télés convoqués par la commission d'enquête sur l’audiovisuel public dont Charles Alloncle est le rapporteur, ont dû prêter serment avant de répondre à la série de question qui leur serait poseés malgré les manœuvres du toujours président qui va devoir répondre de son inadmissible comportement mais aussi des liens tissés avec l'ex-Orange et son ex-dircab qui constituent autant de conflits d'intérêts.

Au cours d'une séance de 4h30 pour laquelle Ernotte a dû répondre aux questions du Rapporteur sur les activités de Arnaud Ngatcha, l'intéressée qui indique visiblement agacée "Je me suis rendue disponible donc ma bonne foi n'est pas en cause... "' - Ben voyons ! - a donc raconté n'importe quoi.

Pour justifier précisément les activités de Arnaud Ngatcha (par ailleurs adjoint d'Anne Hidalgo à la mairie de Paris) au sein de France TV : son travail sur le Téléthon. Pourtant dans toutes les publications liées au Téléthon, c'est Yannick Letranchant, "Directeur des opérations spéciales information et antennes", qui est cité mais jamais celui du "Directeur des opérations spéciales" Arnaud Ngatcha . Voir la vidéo. (#)

(#)

https://youtu.be/DN-fAzTnDAw?si=i0lCvL7VIkTcTY7b

Sur X, Enzo Morel@mtwit75 prouve, publications à l'appui (*) que ce sont des bobards ...sous serment qui plus donc des parjures !

Il ajoute, mettant deux publications en parallèle : "Par ailleurs, en 2022 et 2023, en plein Téléthon, ce dernier était occupé à des activités liées à la mairie de Paris, comme une table ronde "Arménie au cœur de nos solidarités", ou encore le "Forum de l'association des Préfets et des représentants de l'Etat de la Francophonie".

Ernotte avec Tardieu qui souffle ose même raconter devant la commission « Il travaille notamment avec Monsieur Yannick Letranchant donc ils se répartissent le travail. En tout ça fait 4 ETP dans l’entreprise… Il traite le Téléthon, toutes les opérations spéciales, toutes les panthéonisations; il organise tous les anniversaires, les Armistices, les émissions spéciales… »

Quelle pitoyable farce !

(*)












Les réactions des internautes comme celles des Français sont ulcérées et quasiment quasiment toutes du même style que celle de (ci-contre)

La démission de Tardieu comme celle du tandem Ernotte/Sitbon Gomez est devenue inéluctable

Ci-dessous, la dernière déclaration de NGatcha à la HATVP